Bienvenue sur mon blogue de lecture virtuelle !

Pour tout vous dire, je suis une travailleuse sociale qui est devenue enseignante. J'aime écrire. Honnêtement, depuis ses tout débuts, je m'oblige par ce blogue, à écrire et ainsi me maintenir dans un processus de création. Je n'ai pas vraiment d'objectifs autres que d'écrire et de me divertir. J'espère aussi que vous saurez trouver un peu de plaisir à me lire.


Vous êtes invités à échanger vos commentaires.


Alors bonne lecture !

samedi 28 mai 2011

Les suites du prince italien

Bon ben c'est ça, c'est ça. On se souviendra que deux jours après le mariage de Kate et Willy, Cricri, grande détective humaine, rencontrait dans une allée d'épicerie, un prince italien. Cette dernière avait décidé d'attendre les trois jours règlementaires pour l'appeler. J'ai rencontré Cricri hier et voici ce qui s'est passé.

Donc, trois jours plus tard, ça s'adonnait être un mercredi matin, à 10h45. C'était toute une heure pour recontacter son prince ! Non, mais quelle genre de conversation peut-on avoir avec un prince inconnu à onze heures moins quart du matin ? Les biscuits qu'on vient de s'enfiler ? La folle de sécrétairrrrre qui est rentrée dans notre bureau pour nous crier après parce qu'on est arrivé cinq minutes en retard le matin même ? Non, aucun bon sens cette heure-là. Elle décide d'attendre le soir à 19h00 pour l'appeler. 19h00, quand même, fallait y penser, ça c'est toute une heure ! Juste après souper, juste avant la soirée. Une heure où on est calme et inoccupée. Surtout qu'elle était vraiment très très énervée notre Cricri. Il y avait longtemps qu'un homme quel qu'il soit n'était pas entré dans sa vie. Et là, elle ne savait pas ce qui se passerait. Et si elle disait une niaiserie qui le ferait fuir sur le champ ? Et s'il était charmant, joyeux, intéressant, qu'elle s'attachait vraiment à lui mais découvrait qu'il en avait une toute petite ? Que ferait-elle dans cette situation ? Pourrait-elle l'aimer quand même ? Bon, elle avait eu toute une après-midi de répit pour se calmer, le soir à 19h00, elle serait calme.

En attendant, elle était quand même contente d'avoir rencontré un prince, un vrai ! Cette fois, elle en était certaine, elle aurait la chance de pouvoir se promener tout l'été en carosse au Jardin botanique. Et pourquoi pas ! Se promènerait-elle en robe de mariée ! Elle se voyait, fuyant devant les milliers de paparazzi, posant devant les plus grands photographes du monde tentant de saisir le seul et unique moment qui les enrichirait aux yeux du monde. Cependant, il était hors de question qu'elle se fasse prendre en photo dans la volière. Quelqu'un avait-il pensé interdire la volière aux robes de mariée? Hein ? Imaginez, passez la nuit de ses noces avec des maudits papillons pognées dans la tulle et le voile ? Une fois devenue princesse, ce serait son premier combat. Faire poser un écriteau devant la volière disant : " Il est fortement déconseillé aux robes de mariée d'y entrer". Mais que faisait donc le maire de Montréal pour ne pas avoir pensé à ça. Il aurait vraiment intérêt à mieux protéger ses concitoyens plutôt que de perdre son temps à lire les courriels des fonctionnaires celui-là. À part " enlarge your penis " avec vos retours d'impôt ! qu'est-ce qu'il pouvait bien y avoir dans les courriels des fonctionnaires. Bon, il fallait vraiment qu'elle apprenne à se calmer.

Et le soir, 19h00 vint. Et Cricri n'était vraiment mais vraiment pas beaucoup plus calme. Elle ne comprenait pas comment elle pouvait avoir la chienne à ce point d'appeler.

Un rejet, y'a rien là, même si tu subis un rejet. Un de plus dans ta vie ! C'est pas ça qui va faire la différence !  Ouin, mais tsé, d'un autre côté, j'ai plus des centaines d'occasion de rencontrer. Pour une fois que l'épicerie aurait rapporté quelque chose... Merde, déjà 19h15, faut pas que je manque mon coup. Faut que j'appelle.

À 19h15, elle se retrouva devant un choix capital. Appeler assise alors que le coeur lui tapait jusque dans les oreilles et qu'il y avait un risque de ne rien entendre de ce que le prince lui dirait ou appeler en faisant les cent pas pour se calmer. Mais elle avait les genoux mous. Elle avait bien peur de tomber la face par terre par manque de genoux. Le jeu en valait la chandelle. Il fallait qu'elle se calme et même si elle tombait à pleine face par terre, elle pourrait quand même continuer à parler avec la face dans le tapis. C'était évident ! C'était mieux que de passer pour une tite-vieille à la dure d'oreille. Le prince n'y verrait que du feu. De plus, pour remonter sa confiance, elle portait en ce moment même de très belles bobettes. Le résultat était ....

force dans les genoux : - 1
belle bobette :             + 1
Total confiance en soi :   0


0, c'était pas pire. La situation était maîtrisée. Tout était normal. Aucune confiance en soi c'était mieux que moins que rien du tout... Hein ?


Ok ok, j'appelle... 5.................1.....................4...................3........................2................5........................0.....................0............................0..................et en tout cas.

Dring.......................dring................ mon coeur ! y'é entrain d'arrêter.................... dring......................fuck mes genoux........................dring..............................voyons, y'a même pas l'air d'être là ? ....................dring............................... pis le cave, y'a même pas de boîte vocale ?.......................dring..............................ben là, ça fait désespérée, faut que je raccroche...............dr.


Shit, me suis énervée pour rien moi là. Le maudit écoeurant, il m'a fait manquer ma journée à m'énerver de même.... Va falloir que je recommence tout ça moi là ? Marde....................


Ben oui, à suivre (et oui, avant deux semaines) ......

jeudi 26 mai 2011

Désolée

Désolée, fin de session en cours, fin de session en cours. Décrochage de l'écriture probable. De lecture aussi. Me reste de l'énergie pour rien faire. Bref, peu d'énergie. Je vous reviens avec la suite de l'histoire du prince italien de Cricri. Si ça se trouve, elle est trop occupée avec son beau prince pour me donner des nouvelles... Méchante amie qui disparaît dès qu'elle n'est plus seule mais réapparaît dès la première heure de célibat... Pfff !!! On verra !!! Je vous raconte le tout dès que Cricri daigne donner de ses nouvelles.

TS

dimanche 15 mai 2011

La suite de l'enquête sur l'hygiène du sexe

Un prince ! Elle avait rencontré un prince italien à l'épicerie ! Un prince wow !

Elle en était convaincue, c'était bel et bien un prince. Après tout, les contes de fées existaient vraiment et pas que pour les autres, pour elle également. Tasse-toi de là Kate ! Ton histoire n'est rien à côté de celle qui attend la belle et filiforme Cricri. Bientôt, elle arborerait une magnifique robe de mariée au jardin botanique. Peut-être qu'il lui serait bien inutile de remplacer le réservoir d'essence de son auto qui fuyait depuis une semaine. À quoi bon ! Elle passerait le reste de sa vie à se promener en carosse ! Bien sûr, malgré son nouveau statut de princesse italienne, elle resterait elle-même. Elle aurait bien quelques oeuvres de bienfaisance pour aider la basse populace mais elle continuerait tout de même à travailler. Personne d'autre n'avait le talent pour solutionner ses enquêtes humaines. Surtout, ne pas perdre sa carte d'affaires avec l'image des biscuits. Toute cette histoire lui mettait l'eau à la bouche.

Donc, la balle était dans son camp. Elle devait le rappeler pendant la semaine pour prendre rendez-vous. C'est lui qui s'en était assuré. " Vous allez me rappeler, n'est-ce pas ? " . " OK " avait-elle répondu, un peu bêtement. Mais elle avait tout de même répondu "OK" ce qui n'était pas rien de la part d'une femme allumette qui ne s'était pas embrasée depuis belle lurette.

Maintenant, elle devait laisser passer trois jours règlementaires avant de rappeler. La chose est bien connue de tous; moins de trois jours et tu passes pour une désespérée. Plus de trois jours et on te croit trop indépendante. Trois jours à se demander qui allait vraiment lui répondre au bout du fil. Trois jours d'angoisse à l'idée qu'il puisse changer d'idée. Trois jours c'était bien assez pour se faire remplacer par une autre princesse, qui elle, serait véritablement issue de sang royal. Peut-être qu'il ne voudrait pas cette nouvelle sang bleue mais trois jours étaient amplement suffisant à sa famille de le convaincre de prendre une épouse pure.

Bon, dans trois jours, elle appellerait. Mais que lui dirait-elle ? Elle avait perdu l'expérience de ces choses. " Allo, c'est moé ! " trop basse classe. " Bonjour, je suis celle ayant attiré votre attention entre les cannes de pois et les soupes aux nouilles. " Hum, mieux. Mais était-elle la seule ce jour là ? Peut-être avait-il laissé sa carte à une autre, plus belle, dont la splendeur se reflétait dans le bleu du jus de raisin ! Ou cette autre plus chaude qui magasinait dans les réfrigérateurs... Et que lui répondrait-il ? Et s'il ne la reconnaissait pas ?

Et bon Dieu, chose encore plus difficile, s'il y avait bien un premier rendez-vous, que porterait-elle ? Il était hors de question de coucher le premier soir. Jamais. On connaissait que trop bien le sort réservé à la belle Marie Boleyn, la soeur d'Anne ayant été la maîtresse d'Henri Vlll... Et bien oui. Elle n'était jamais devenue reine, alors que la belle Anne, s'étant refusée à Henri pendant les fréquentations, avait augmenté son désir jusqu'à lui faire rompre ses liens avec le PAPE ! Cricri n'en demandait pas tant, surtout à un italien, mais il était exclu qu'elle couche le premier soir. Elle avait cependant un peu peur de se laisser fléchir par une soirée qu'elle espérait enchanteresse, probablement agrémentée par un vin  joyeux (d'une qualité supérieure, issu d'une des nombreuses caves d'un château! ) et sûrement couronnée par " Ça te tentes-tu qu'on se revoye ? "...

Bon, non, non de non, elle ne céderait pas sur ce point. Son avenir en dépendait trop. Elle serait princesse ou elle ne serait rien. Et pour ne pas céder, elle possédait l'arme idéale. Des grandes bobettes. Des bobettes si grandes et si hautes qu'elle mourrait de honte de savoir qu'un jour, on puisse les avoir vues. Elle allait les porter comme on porte une ceinture de chasteté dans les contes de sorcières. Et elle savait qu'elle résisterait. Mais en même temps se dit-elle, on dirait que je vais manquer de confiance en moi avec ça sur le dos... Comment avoir confiance en son pouvoir de séduction lorsqu'on est aussi peu armé ? Elle avait encore du temps devant elle pour réfléchir à cette énigme qui pour l'instant demandait trop de concentration. Elle avait des morceaux de cerveaux qui s'éparpillaient partout dans la galaxie et il lui était impossible de solutionner quelque problème que ce soit. Tout ce qu'elle savait, c'était qu'elle ne devait pas laisser passer cette occasion. Voilà, c'est tout. Elle devait trouver le courage de rappeler après trois jours même s'il ne savait plus qui elle était. Même si la chose était trop belle pour être vraie. Bon, c'était décidé, elle attendrait encore un peu avant de se débarrasser de son auto. Juste comme ça. Au cas où...

C'est ça, dans trois jours, elle l'appellerait. Trois jours pour se préparer mentalement. Préparer une liste de sujets de conversation au téléphone. Les vacances... non, il va penser que tu fais déjà des projets... euh, mon chat ? ça fait looser un peu quand même...  Son travail, elle allait parler de son travail... Enfin, dans trois jours, elle l'appellerait. Et oui, c'est ça, dans trois jours, elle espérait en avoir le courage...

samedi 7 mai 2011

L'hygiène du sexe

Cricri se demandait dans quel guêpier elle était allée se fourrer. Même si, pour le bien être de sa collectivité, une enquête sur l'importance que prend l'hygiène dans le sexe pouvait fort probablement réussir à prévenir plusieurs problèmes de couple, de rupture voire même de maladies qu'elle n'était pas en mesure de prononcer, elle se demandait comment elle pouvait entreprendre cette enquête.

Il y avait fort longtemps qu'elle ne s'était pas retrouvée sur une telle scène de crime. En effet, elle avait abandonné cette pratique à force de se voir constamment rejetée par des cinglés, des bornés, des hommes centrés sur leurs propres besoins. Un jour, elle avait décidé, qu'assez c'était assez. Elle avait décidé de vivre heureuse, pour elle seulement, quitte à passer le reste de ses jours à parler à son chat et à ses amis de Séries Plus. Son divan était devenu son plus grand réconfort. Ses livres remplaçaient ses expériences de vie. Elle vivait sa vie par histoires interposées que ce soit à la télé, sur du papier ou par les péripéties racontées par ses amies qui n'avaient pas démissionnés du Plaisir, acceptant cependant les déplaisirs qui trop souvent l'accompagne.

Alors comment allait-elle bien aborder cette nouvelle question concernant l'hygiène du sexe ? Ses souvenirs n'étaient que morceaux d'expériences dont elle avait beaucoup de mal à reconstituer l'histoire dans son ensemble. Une fesse molle par-ci, une main par-là, enlève ton doigt de là, tu sais que j'aime pas ça, mais chérie, laisse-toi faire, tu vas finir par aimer ça et si t'aimes pas ça, veux-tu me le faire toi ? Mais franchement, j'aimerais mieux me faire rouler dessus par un train que mettre un doigt dans ton arrière train... Tout lui revenait par bribes, une érection dans sa tête de conversations éparses, sans queue ni tête. Il lui faudrait certainement une psychanalyse de 10 ans pour tout replacer dans leur contexte.

Ne pouvant donner aucune réponse à son angoisse naissante, elle décida de lâcher prise pendant quelques heures et de se calmer en réalisant l'activité qu'elle aimait le mieux faire c'est à dire, l'épicerie. Faire l'épicerie. Quelle joie pour Cricri. Il faut dire qu'elle était une très belle femme allumette de 35 ans et qu'elle mettait beaucoup d'efforts pour chérir ce corps et lui maintenir son manque de formes. Alors que certaines femmes se privaient littéralement de nourriture pour garder un tel corps, elle avait découvert la discipline et la rigueur. Passer des heures à lire les étiquettes afin de choisir l'ingrédient idéal pour caresser son intérieur. Elle mangeait bio, elle buvait bio, elle vivait bio. Ses choix devenaient équitables pour sa santé, et son corps sans forme, un impact collatéral à son style de vie.

Elle prit donc ses sacs plastiques métro, bourrés de plomb et hyper polluants pour se rendre au marché d'alimentation bio du coin. Elle commença par déambuler dans les fruits et les légumes. Ce jour-là, elle se surprit à acheter des fèves germées. L'alimentation vivante éveillerait peut-être ses idées face à son enquête. Elle acheta du cèleri rave et du bokchoy. Ça faisait chic au bureau de parler de bokchoy  et malgré sa complète ignorance de la cuisson de ces aliments, l'important n'était-il pas d'être dans le coup? D'être acceptée par la masse environnante et pouvoir suivre ses conversations ? Malgré son ignorance, elle trouvait plus facile de tenter de suivre les discussions sur le bokchoy que sur la Lybie. Rien d'autre ne venait à son esprit que sont méchants les américains alors qu'elle adorait la majorité de leurs séries policières. Déclarer que les américains sont méchants équivalait ni plus ni moins qu'à renier ses amis. Elle préférait parler de bokchoy. C'était pour elle un choix politique.

Alors qu'elle réfléchissait ainsi sur le sort de l'humanité, une voix venue d'on ne sait où s'adressa à elle.

- " Bonjour, on se connaît ? " dit cette voix mélodieuse.

- " Non, je ne crois pas" répondit Cricri tout en se retournant vers la liste d'ingrédients de sa canne de pois bios.

Mais la voix ne se découragea pas pour si peu.

- " Vous ne faites pas partie d'un club de sport par hasard ? "

- " Hum, pas maintenant. Il y a quelques années oui mais votre visage ne me dit rien. " (Hum, il trouve que j'ai un beau body ? )

- " Est-ce que vous faites toujours du sport ? Du vélo ? "

- " Je fais du jogging. Ça prend moins de temps que de me faire suer un samedi à faire 100 km de vélo ou de prendre 6 heures pour grimper une montagne. Le jogging c'est efficace, ça ne prend pas trop de temps et ça me garde en forme. "

Cricri avait peine à comprendre pourquoi cette voix s'intéressait à elle. Elle n'avait absolument rien fait pour ce faire. Était-ce sa nouvelle teinture ? Avait-elle affaire à un trafiquant d'organes qui vérifiait jusqu'à quel point elle entretenait ses reins, son coeur, son foie ? Elle était interloquée et ne savait qu'en penser ni que faire. Elle resta là, coite, à attendre la prochaine question qu'elle imaginait davantage du style, pensez-vous que le poulet là-bas a vraiment été élevé au grain et dans des conditions humaines ?

- " Auriez-vous envie qu'on se revoit soit pour faire du jogging, prendre un café ou boire un verre de vin ?"

Elle fût encore plus surprise lorsqu'elle s'entendit dire "OK !" 

- " Voici ma carte d'affaire " fit la voix en la lui tendant. " Je suis à moitié italien et ma mère est québécoise. ( Qu'est-ce que ça vient faire dans la conversation ça ? se demanda-t-elle dans un éclair). Vous allez m'appeler c'est certain ? " lui indiqua-t-il sans pour autant la supplier.

Toute aussi choquée, elle s'entendit répondre " OK ". Tout à coup, sans savoir pourquoi, son cerveau passait à celle d'une enquêteure réfléchie à une adolescente fébrile devant le gars le plus populaire de l'école et incapable de prononcer une parole sensée. Avait-elle rencontré un prince italien ? Se promènerait-elle bientôt en carosse au jardin botanique ? Elle termina son épicerie et s'en fût à la maison. Et c'est à ce moment, seule et à l'abri des regards, qu'elle osa regarder la carte d'affaire du prince italien. Si elle l'avait fait auparavant et qu'il l'avait surprise, elle lui aurait démontré une once d'intérêt et ça, pour les débuts de relations, dieu sait que démontrer un intérêt ou une simple curiosité pour l'autre, dieu sait que c'est contre-indiqué ! Et sur sa carte, elle eut la grande surprise,  l'immense plaisir d'admirer ce qui équivalait à un gagner un gros lot sans avoir même joué. Sur sa carte, il y avait des biscuits ! IL VEND DES BISCUITS ! Désormais, elle savait qu'elle n'avait rien à perdre et était heureuse d'avoir pu babiller "OK".

À suivre.

vendredi 6 mai 2011

Énervement

Ok ok, trop énervée pour écrire, me concentrer même respirer. Ne vous inquiétez pas, tout va bien. Mais mon cerveau s'en va dans tous les sens. Juste le temps de récupérer les morceaux et de reconstituer le casse-tête (ah ! de mon cerveau) et je vous reviens avec l'enquête de Cricri sur le sexe et l'hygiène.

À bientôt,

TS
BlogueParade.com