Bienvenue sur mon blogue de lecture virtuelle !

Pour tout vous dire, je suis une travailleuse sociale qui est devenue enseignante. J'aime écrire. Honnêtement, depuis ses tout débuts, je m'oblige par ce blogue, à écrire et ainsi me maintenir dans un processus de création. Je n'ai pas vraiment d'objectifs autres que d'écrire et de me divertir. J'espère aussi que vous saurez trouver un peu de plaisir à me lire.


Vous êtes invités à échanger vos commentaires.


Alors bonne lecture !

dimanche 31 juillet 2011

L'eau chaude de Cuba

Hourra ! J'ai vraiment écrit pour vrai. J'ai terminé mon premier chapitre et commencer le deuxième.

Il est vrai que le fait de n'avoir pas de plancher à balayer, de linge à laver, d'armoires à nettoyer aide sûrement grandement. Je réalise qu'à la maison,  je veux que tout soit placé dans mon environnement et qu'ensuite, je pourrai écrire. Mais ça ne finit jamais. Alors je me dis qu'il faut davantage que je planifie du temps pour écrire.

C'est aussi étrange. Le fait que je sois loin de chez moi a aussi facilité l'écriture. C'est comme si j'étais loin de moi, de mon histoire. Je pouvais être davantage spectatrice et la raconter que la vivre. C'est un peu difficile à expliquer mais j'ai pris ma plume et j'ai laissé couler.

Je réalise que plus j'écris, mieux je le fais. J'attendais d'avoir l'idée avant d'écrire. Je retravaillais constamment mes paragraphes, mes phrases, je n'étais pas satisfaite. Je savais que cette méthode n'était pas la meilleure mais c'est comme si je ne pouvais pas m'en empêcher. Alors qu'en vacances, je n'avais que quelques stylos et des feuilles, qui devenaient de plus en plus humides, tordues par la chaleur intense de ce climat. Difficile même de se relire, alors réécrire ! impossible. Je n'avais pas le choix. Plutôt que de refaire constamment le même chemin, je devais le poursuivre.

Autre point important. À la maison, j'écris directement sur l'ordinateur. Alors écrire ressemble trop à travailler, car je travaille aussi à la maison...

Les leçons à en tirer ?

- Faire de la place pour l'écriture quitte à me l'imposer au début et voir si j'aime ça. ... Parce que c'est pour moi un exercice tellement astreignant que je ne suis vraiment pas certaine que j'aime ça. D'un autre côté, lorsque j'ai écrit, je suis tellement contente, que je ne suis pas sûre de vouloir abandonner la partie maintenant... donc je disais de un, faire de la place dans mon horaire pour écrire ;

- Et, à défaut d'avoir un endroit attirant à la maison pour ce faire, pourquoi pas écrire ailleurs que chez moi, avec mes feuilles et mes stylos couleurs... ah !!!  l'école va recommencer bientôt. J'adore ce moment où, comme quand j'étais petite, ma mère nous achetait des cahiers neufs et des crayons de toutes les couleurs. J'ai toute ma vie, à chaque automne, garder cette habitude. Maintenant, je vais aller magasiner non seulement pour l'école mais aussi pour mon projet d'écriture.

Voyez ! C'est parti. Je ne peux plus m'empêcher d'écrire ! Les mots me viennent, coulent, s'insèrent en moi comme de véritables petits éclairs de soleil....

Ah ! Les nerfs... arrête le café cubain et calme toi un peu... Bon, maintenant, c'est le temps de lire. J'ai commencé à lire La lionne blanche d'Henning Mankell et je ne décroche plus. J'aime beaucoup.

Reste à savoir si mes résolutions pourront tenir malgré le chaos de la vie quotidienne... Surtout, ne pas tomber dans les justifications... c'est à suivre...

Bon dimanche.

TS

jeudi 28 juillet 2011

Les pieds dans l'eau

Je vous le confirme, les pieds dans l'eau c'est super pour stimuler la creativite... desole pour les accents...

Je vous raconte a mon retour de voyage.

Tourlou,

TS

mardi 19 juillet 2011

Est-ce que les bélugas stimulent la créativité ?

Je ne sais pas, on ne les même a pas vus ! :o)

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Je pars pour une semaine dans le sud. On va éviter la canicule de Montréal ! :o)

Là pour vrai j'aurai les pieds dans l'eau et j'en profiterai pour écrire. D'ailleurs, je ne suis pas totalement inactive de ce point de vue. J'ai eu l'idée qui reliait les différents chapitres, le contexte c'est à dire où se passerait mon histoire. J'ai aussi décrit quelques personnages. Je commence à être un peu plus dedans comme on dit. Pas envahie comme je voudrais l'être, mais je sens que ça s'en vient. Alors, espérons que Cuba sera inspirant.

Bonnes vacances.

TS

jeudi 14 juillet 2011

Et bien non...

Je ne pourrai pas vous dire si les idées me sont venues plus rapidement avec les pieds dans l'eau. Je ne pourrai pas vous dire si d'être couchée sur le sable m'inspire davantage que d'être assise devant mon ordinateur. Je ne pourrai pas vous dire si des traits de caractère de certains douaniers peuvent être représentés dans mon personnage principal...

Mais je peux vous dire que je n'ai pas reçu mon passeport à temps pour les plages du Maine. snif snif

Qu'à cela ne tienne ! Changement de destination de dernière minute ... Kamouraska et les bélugas... Est-ce inspirant pour un livre un béluga ? Je vérifie et vous en reparle très bientôt.

Bonne fin de semaine à tous et toutes,

TS

Les pieds dans l'eau ?

Depuis des semaines que je me vois dans cette position extatique. Un coup, les pieds dans l'eau le visage au soleil, un autre coup les pieds et le visage dans le sable. La chaleur du soleil, la caresse du vent sur ma peau, un état de sublime relaxation m'apporteront j'en suis certaine, l'ouverture et l'état d'esprit nécessaires à la création.

Mais voilà qu'un nuage point à l'horizon depuis quelques jours. Me tord les entrailles. Vais-je réussir à créer réellement cette image idyllique de mon corps dans l'air marin ou vais-je devoir faire face à la déception.

Quelques mots, quelques bribes de phrases se succèdent dans ma tête... Suites du lock out Postes Canada, courrier en retard, passeport dans la poste depuis le 5 juillet, délai du traitement inconnu...

J'attends, j'attends. Voulez-vous attendre avec moi ? Ondes négatives ? N'importe quoi mais viens à moi passeport de mes deux...

À suivre.

lundi 11 juillet 2011

Et aujourd'hui ?

J'ai commencé ma journée en terminant Los Angeles River de Michael Connelly. Jusqu'à maintenant, j'appréciais correctement cette lecture. Pas que j'attendais impatiemment que le jour se lève pour aller lire encore un bout, mais c'était disons ok comme lecture. Je réalise que finalement, j'ai plutôt hâte de terminer ce livre, je m'ennuie. Pas que c'est pas bien, c'est plutôt bien écrit, mais je n'accroche pas à ce suspense policier. Lorsque l'on décrit une enquête pendant 325 pages et que l'intrigue se déroule dans les dix dernières pages, ben ça finit par m'ennuyer. Et surtout ça ne donne pas le goût de me ruer sur ma propre écriture. Je veux simplement savoir comment le meurtrier se fera piéger qu'on en finisse.

Et puis, côté écriture, on ne peut pas dire que ma journée fût très prolifique. Me suis même demandée si j'aimais ça tant que ça écrire ? L'hiver j'ai trop de travail et l'été ben, je veux profiter de mes vacances. Tout comme pour l'entraînement, j'ai souvent des défaites. Et puis je me demande si tout doit toujours être noir ou blanc. Peut-être est-ce tout simplement un bout de ma vie où j'ai moins envie ? Ou ...? Bah, ou quoi ?

N'empêche que j'ai relu les 5 chapitres que j'avais écrits l'an dernier. Je dois dire que j'y  retrouve des idées intéressantes mais une écriture qui ne soulève pas vraiment l'intérêt du lecteur, enfin il me semble. Je narre. Pas de dialogues. Peu de descriptions.  Je dois tout reprendre depuis le début. Une seule idée se résume en un paragraphe alors je crois pouvoir développer, faire vivre des personnages, qu'ils discutent entre eux, je peux travailler à décrire davantage l'environnement afin de faire sentir l'ambiance au lecteur ... Bref, je recommence non je continue mais autrement.

Enfin, ça vient, ça vient. Je vais, je vais...  Oh la ! Ne t'emballe pas ma vieille, commence toujours par écrire ! Tout de même, après cette relecture et ces réflexions, j'ai eu deux petites idées, deux petits éclairs. Deux points de départ qui j'espère me mèneront à un premier chapitre.  Ça y est, je suis presque rendue là où je voulais arriver ou plutôt où je voulais débuter. Je suis un peu plus entourée psychologiquement par mon projet. Pas envahie, juste ce qu'il faut pour entraîner mon imagination et la convertir dans des idées, dans des mots.

Me reste plus maintenant qu'à commencer à écrire... . AH!!!!!!!

jeudi 7 juillet 2011

Pourquoi ? Pourquoi quoi? Ben quoi pourquoi pas ?

Depuis deux jours que j'épluche mes écritures passées, ma valise de tristesse. Je gribouille des notes, je souligne des idées. Heureusement, dans ces notes, je n'ai pas que parler de moi, j'ai aussi un peu développé sur des personnes rencontrées et qui m'inspirent un peu. Je m'imagine bâtir un personnage avec des traits de caractères de plusieurs personnes. Je suis assez encouragée, satisfaite, je passe peu à peu à travers mon passé et je laisse couler à tout jamais ces événements que j'espère oublier ou à tout le moins, laisser derrière.

Et puis, ce matin, anxiété. Par quoi je commence ? J'écris ou je continue  à lire mes notes ? Pourquoi écrire au juste ? Est-ce que toutes ces heures en valent vraiment la peine ? Tais-toi et continue à lire la valise de  ton passé et c'est tout ! Pourquoi te poser tant de questions ?

Un matin d'éparpillement comme d'autres. Et puis je tombe sur ce billet.... ,  

http://romanenchantier.blogspot.com/2011/07/moi-et-ma-vulnerabilite.html

qui commence ainsi :

Moi et ma vulnérabilité  

Depuis mon retour de l'atelier long d'Élisabeth Vonarburg, je vogue sur la mer des doutes, ballotée par des « pourquoi j'écris? », des « où est-ce que je m'en vais avec tout ça? » et des « me serais-je finalement trompée? ».

Pourtant, cette auteure, écrit à temps plein et surtout, elle est publiée. Alors je me sens toute petite dans ce monde, je cherche une solution à mon anxiété. Mon problème est-il dans le pourquoi ou plutôt dans le comment ? Je n'ai pas de méthode, je cherche une structure, un plan, une direction qui me dira où aller et je google cette phrase futile " Comment écrire un livre ", futile parce que je sais pertinemment qu'il n'y a pas de méthode ou que toute personne qui m'expliquera "LA" méthode ne sera probablement qu'un charlatan tentant de vendre son livre sur " Comment écrire un livre. " Comme " Comment démarrer son entreprise" et que le mec, son entreprise, c'est le livre qu'il vend... En tout cas, je google et je tombe sur :

http://ecrire-conseils.blogspot.com/2007/03/ecrire-un-livre.html

Et au delà de l'article, j'aperçois les commentaires des lecteurs qui se posent plutôt la question du "Pourquoi écrire". Voilà, on y revient toujours. Alors je me suis heureuse, presque plus anxieuse et je me dis, je vais leur répondre, leur laisser savoir qu'ils ne sont plus seuls non plutôt, je ne suis plus seule, je me pose aussi cette fameuse maudite question. Et blogger bogue. Impossible d'écrire. Impossible de laisser le moindre message. Maudite machine qui m'oblige à me parler toute seule et à me répondre...

Jusqu'à maintenant, j'ai l'impression de faire un gâteau en ayant une certaine idée de comment ça se fait mais finalement, je n'en suis pas trop certaine. Alors je vais acheter les ingrédients. Je commence à mélanger, m'aperçois qu'il me manque du CACAO. Me décourage, laisse le mélange au frigo et remet au lendemain l'achat et l'ajout de CACAO. Finalement, j'en trouve, je mélange avec le reste, je fous le tout au four pour m'apercevoir que je n'ai même pas mis d'oeufs. J'ai frôlé la catastrophe, je retire le mélange du four et fais mon possible pour rajouter l'oeuf. Bah, je mettrai du gros crémage pour camoufler les imperfections... mais cet esthétisme ne me rassure pas, je me demande alors pourquoi j'ai voulu faire ce gâteau...


- " Félix, laisse la bouffe des chatons ! "

Et puis merde, la vaisselle...

Je m'arrête, je crois avoir la solution. Cette fin de semaine, je m'en vais faire de la randonnée pédestre. C'est tout, et aujourd'hui, je m'achète un sac pour la randonnée. Voilà, je quitte cet océan d'incertitudes et ses vagues de questions. Temporairement, pour me calmer et me dis que je trouverai certainement une autre solution à mon problème de livre, un autre jour. Accepter l'incertitude. M'en inspirer. Je ne sais pas encore comment, mais je sais qu'un jour je saurai. Pour maintenant, à ne savoir que faire d'autre, j'accepte la question. Je la déteste mais je n'ai d'autre choix, pour l'instant.

mardi 5 juillet 2011

Faire le ménage

Sans révéler le contenu de mon livre, disons que j'essaie de faire une auto-fiction basée sur des éléments que j'ai soit vécu soit que mon entourage a vécu. Cependant, tout cela sera écrit à ma propre sauce, avec mon ironie et j'espère aussi, avec beaucoup d'humour. Il y a également une trame de fond qui vient exagérer un trait de mon caractère. Bref, pour me faciliter la tâche, je pars de moi.

Toutefois, ceci n'évite en rien la partie recherche puisque ma mémoire me fait défaut. Par exemple, que peut-il arriver à une adolescente ? Je fouille donc sur internet à la recherche de forums d'adolescents afin de connaître le style d'aventure qu'ils vivent ce qui est plutôt enrichissant en terme d'idées.

Également, dans ma vie, j'ai beaucoup écrit, surtout lorsque je déprimais. J'ai une valise pleine de tristesse. Je me suis toujours demandée ce qui se passerait avec ma valise lorsque je mourrais. Trouvera-t-on que ma vie a été d'un ennui tel qu'il est difficile de croire que j'ai vécu si longtemps ? Vais-je, post-mortem, provoquer une dépression de lecteur ? Et prendra-t-on vraiment le temps de la lire complètement ou après deux pages, mes héritiers vont-ils tout simplement la jeter aux poubelles ? Malheureusement, connaissant mes héritiers, cette éventualité ne m'apparaît pas pour rien. M'est venu l'idée de la léguer  à une amie qui en prendrait grand soin. Mais cela me semble bien prétentieux. Je vois maintenant mon amie avec une maudite valise dans son armoire qui lui coupe de la place pour ranger ses vêtements d'été. Je ne voudrais surtout pas que mon départ résulte en un supplice de valise à garder. Il faut dire qu'on y retrouve beaucoup de délires ou d'éléments tout simplement, inintéressants.

J'ai donc fini par prendre la décision suivante. Je relis le tout, je vois si  certains éléments peuvent m'inspirer, je prends des notes et ensuite... exit poubelle. Voilà, ces écritures n'appartiendront jamais qu'à moi et à moi seule, ils partiront avec moi dans l'au-delà... et j'en raconterai bien ce que je voudrai bien en raconter.

Et pour mes héritiers ? Ne leur restera plus qu'à fouiller dans les poubelles...

dimanche 3 juillet 2011

Et dis-donc ? Elle vient cette dédicace de m... ?

En vacances, mes jours se divisent en trois parties. Et mes nuits, je vous dis pas, mes nuits. Je ne dors pas plus en vacances. J'attends d'ailleurs les résultats d'une nuit passée à la clinique du sommeil. Ils m'ont mis des dizaines d'électrodes dans la tête, sur les bras et les jambes, ont relié le tout au lit, ont placé des tuyaux dans mon nez, une pince sur mon doigt et deux ganses très serrées autour de ma taille. Votre nuit sera filmée. Vous n'aurez pas non plus le contrôle de la lumière qu'ils ont ajouté. Maintenant, dormez !  ont-ils terminé. À première vue, il aurait été plus facile de monter le Mont-Royal de reculons sur les épaules que de dormir dans ces conditions.  Pas grave que je me suis dis, je suis ici pour de l'insomnie. Qu'est-ce que j'en ai à foutre de pas dormir ? Et je me suis relaxée. Et le pire qui pouvait arriver, arriva. Je me suis réveillée le lendemain matin en pleine forme. La pire catastrophe dans l'histoire de mon humanité. Ça y était. J'avais manqué la dernière possibilité que j'avais de me faire aider pour mon sommeil. J'étais désormais condamnée à errer comme un zombie le jour et à vouloir mourrir la nuit. Enfin, pensons donc à autre chose. 

Je disais donc que pendant mes vacances, mes journées se divisent ainsi. Le matin, je lis, je relaxe, jusqu'au dîner. L'après-midi, il est permis qu'il se passe quelque chose. Et le soir, je me retrouve devant la télé. Alors, je dois organiser mon temps pour écrire. Impossible de lire longtemps et d'écrire ensuite. Faut un peu d'équilibre. C'est trop la même énergie. Mais souvent lire me donne le goût d'écrire mais je dois cependant apprendre à développer mon propre style plutôt que m'épancher spontanément en fonction du style d'écriture de la lecture présente. 

Comme maintenant, je termine "Ouest de François Vallejo". Une histoire de châtelain complètement crack pot qui fait virer fou tout le monde autour. Une histoire de huis clos, annonce la quatrième de couverture, où deux êtres s'affrontent, se détruisent. Disons, pas inintéressant. Une fois passé le style d'écriture, on veut savoir où on s'en va. Une écriture où l'on distingue mal les propos du narrateur, des dialogues. Une écriture où l'on étouffe, comme dans l'histoire. Juste pour ça, je trouve que ça valait le coup de le découvrir. Mais était-ce l'intention de l'auteur ou simplement mon imagination qui s'emballe ? Qui donne un sens tout autre que celui qu'a voulu donner l'auteur ? J'aime tellement lire que je peux lire les pires âneries et y trouver mon compte. Les recettes de Jehanne Benoît deviennent alors un défi lancé aux générations futures de manger du gras sans que personne ne nous achale avec ça !

Bref, un livre pas inintéressant mais qui ne stimule pas pour aujourd'hui, mon goût d'écrire. C'est peut-être pas le moment. Un jour à la fois. Aujourd'hui, on accepte l'inacceptable. J'en étais où déjà dans mon projet d'écriture ? Ah oui, la dédicace. Hum, pas d'idée. Alors, je laisse fermenter. La création ne se force pas. Parfois, il faut la laisser pousser par elle-même en arrosant les graines, leur donner du soleil et puis un jour, on l'espère, une idée grandiose apparaîtra. Bon, je ne force pas. Aujourd'hui encore, c'est comme ça.

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