Bienvenue sur mon blogue de lecture virtuelle !

Pour tout vous dire, je suis une travailleuse sociale qui est devenue enseignante. J'aime écrire. Honnêtement, depuis ses tout débuts, je m'oblige par ce blogue, à écrire et ainsi me maintenir dans un processus de création. Je n'ai pas vraiment d'objectifs autres que d'écrire et de me divertir. J'espère aussi que vous saurez trouver un peu de plaisir à me lire.


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Alors bonne lecture !

vendredi 12 août 2011

Suivi chatons

La petite poupoune blanche et grise a quitté le foyer ce matin. Personne pleure, même pas maman chatte. ...

Hein ? Quoi ? Moi ? Ben non, moi non plus, voyons, on pleure pas pour un chaton... snif snif snif, je pleure absolument pas. Qu'est-ce que j'ai ? Ben voyons, c'est les oignons dans mes céréales qui me font pleurer...


mercredi 10 août 2011

274...

- T'as une suggestion de lecture d'été ?

- Oui, lis L'ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon, tu vas adorer...

Alors voilà, je lis, je lis et plus je lis, moins j'adore. Et je me dis que je vais finir par adorer. Mais non, plus je lis, plus je trouve qu'il y a trop de mots. Une écriture remarquable. Je l'avoue. Mais pourquoi tant de mots ? L'auteur s'est-il mis au défi d'utiliser tous les mots du dictionnaire ? Ok, j'exagère, j'avoue. Je m'avoue vaincue. Si je lis davantage, je vais détester. Alors, après 274 pages, je laisse. Je lâche prise.

Après tout, est-ce sacrilège de ne pas lire un livre jusqu'au bout ? Et d'où me vient cette obligation ? Pourquoi tant de difficultés à délaisser une lecture ennuyante ? Une voix intérieure s'adresse à moi malgré moi. " Comment se fait-il que la planète entière a adoré et pas moi ? Qu'est-ce qui cloche chez moi ? Et l'auteur a travaillé d'arrache pied pour produire cet ouvrage, le moins que tu puisses faire est de respecter son travail et de lire jusqu'au bout. "  Et je réponds à cette voix que si tout lire est une preuve de respect pour l'auteur, n'est-ce pas une marque d'irrespect pour ma propre personne que de m'ennuyer en tournant tant de pages ?

Allez mes voix, cessez de me parler. Cassez-vous ! Je me casse de ce livre à tout jamais. Je m'en fous de ne pas connaître la fin. Mais peut-être pas tant que ça quand même... D'ailleurs y a-t-il une fin à ce genre d'histoire ? Peut-on retrouver un réel dénouement lorsqu'on se perd autant ... Non, ça n'en vaut pas la peine, laisse tomber. Plonge toi dans ton Henning Mankell alors que tu as vraiment le goût de côtoyer ce commissaire Wallander, cet être tout croche à qui tu peux davantage t'identifier, que tu as vraiment envie de connaître le déroulement et dénouement de son enquête.

...juste un petit coup d'oeil sur la fin... Allez, je n'en peux plus. Traitez-moi de faible si vous voulez....


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Ahhhhh ! Impossible, il me faudrait lire de la page 274 à la page 524 pour connaître la fin de l'histoire. Mais une phrase retient mon attention : " Mon fils qui aura dix ans demain, m'observe en souriant , intrigué par cette pile de feuilles qui n'en finit pas de grandir, persuadé, peut-être que son père a lui aussi contracté cette maladie de livres et de mots."

Voilà, c'est dit, je ne suis qu'une enfant de 10 ans. Je suis d'accord, c'est une maladie. Et moi quand je lis, c'est dommage, mais ça me rend malade.  

Euh...  274 pages, c'est suffisant pour être inscrit comme lecture dans un défi lecture ? Hein, femme libre ?  :o)

jeudi 4 août 2011

Mignons chatons à donner



















Je recherche des familles aimantes pour adopter de mignons chatons. Ils seront prêts à la mi-septembre. Ils sont tous nourris à la bouffe de vétérinaire et sont en forme.

lundi 1 août 2011

Hum... ouin...

Je lis et puis je me dis, faudrait bien que j'écrive. Je commence à écrire et puis là, je pense à mon scrabble, juste un mot, un tout petit mot. Je me remets à écrire et le nettoyage de mes armoires me hante. Les chats à nourrir. Le plancher, juste frotter un ti-peu, rien du tout. Pourtant je n'ai jamais été une maniaque du ménage. Si je n'étais pas en vacances, ce serait le travail qui me préoccuperait. Là, je veux que mon environnement soit propre pour mon retour au travail.

J'ai écrit un tout petit peu ce matin. Quelques idées me sont venues, mais de façon générale, pas très contente mais pas grave. L'idée est de continuer. Le meilleur est à venir. Mais faire une chose à la fois. Me concentrer sur ce que je dois faire et non sur ce qu'il me reste à faire. Que ce soit pour écrire ou pour quoi que ce soit d'autre... ça n'est pas sur l'écriture que je dois travailler, c'est sur ma vie au grand complet ! Une chose à la fois. Une chose à la fois. Mais comment on fait ça donc ?
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